je.ne.veux.pas.travailler

aurais-je le temps ?

Vendredi 7 janvier 2011 à 23:04

...Que se passe t-il dans la tête d'un adolescent ou d'un ado naissant pour se mettre à manger des pâtes froides ? Sérieusement. Les pâtes ça se mange chaud avec une sauce fraiche et réfléchis ? De toute façon il se passe trop de chose bizarre dans la tête d'un ado.

Jeudi 6 janvier 2011 à 21:47

Si je devais parler de cet homme j'en parlerais à genoux devant lui. Son nom m'évoque un sauveur aujourd'hui. "Nous ne pouvons avoir qu'un amour" cette phrase est stupide du haut de mes 17 ans je peux dire que je n'oublierais jamais cet homme. L'amour passionnel existe je le vis au jour le jour. Nous nous sommes parlé des heures un milliard de fois. Il m'a pris la main un jour en souriant pour me dire ne t'inquiète pas ça va aller. Et c'est aller doucement certes trop doucement mais sûrement. Aucun titre de propriété je n'avais à son égard et pourtant je ne voulais pas le partager de peur de le perdre à tout jamais. Cet homme là n'est ni un frère ni un cousin et surtout pas un père non c'est bien différent de tout cela. Cet homme là c'est mon meilleur ami. Il me relève quand je tombe, me rassure que j'ai peur, et sèche mes peines. Croyais moi c’est pour lui que je suis maintenant contraint de me taire.Il aura marqué ma vie de la plus belle façon possible. Il aura su comprendre mes maux. Il aura su m'écouter, m'éclairer, m'apprendre et me comprendre. Parfois cette tâche fut difficile et pourtant il était là et il est toujours là. C'est grâce à lui que je ris que je pleure c'est grâce à lui si j'en suis là si j'ai un but réelle si parfois je crois en moi si j'avance à tâtons. Il bloque chaque fois le mur en face de moi le détruit pour que j'en construise un avec une issus il m'apprend tellement. Des heures passé au téléphone a rire et sourire à s'écouter respirer à s'endormir l'oreille collé à t'écouter. Je ne sais comment seras le temps sans toi, tu m'as appris je sais reconnaître la dychotomie du bien et du mal je sais reconnaître la vie. Je sais me reconnaître. Pas besoins d’un discours grandiloquent pour te dire ce que je ressens d'ailleurs tu sais tout ce que je ressens. Tu sais que ma vie me semblait fataliste et pourtant non pourtant rien n'est écrit la haut tout peut changer un rien peut tout changer . Je n'ai pas peur je n'ai plus peur. J'ai eu peur un jour et puis maintenant je respire. http://je.ne.veux.pas.travailler.cowblog.fr/images/PA096016.jpg
Tu n'est qu'un vaurien. Un petit grain sable. Le battament d'aile du papillon qui provoqua un typhon à l'autre bout du monde. Tu es celui que je remercierais jamais assez. Il est aussi celui que je venais voir tard le soir ou bien tôt le matin. Celui qui me respecte comme une princesse. Celui avec qui je peux dormir sans faire de bêtise. Celui que je ne saurais jamais assez remercier. J'espère ne jamais t'oublier. Tu semblais instable et vraiment trop gentils je n'ai pas voulu te parler dés le début de peur de tomber sur quelqu'un comme moi. Quand tu as prononcé des mots insensé avec un air complétement désoeuvré à mon égard le soir de la feria je me suis dis qu'il ne fallait pas te laisser filer. N'est ce d'ailleurs pas ce que j'ai fait ? Je ne t'ai jamais lâché peut-être aurais-je du pour grandir seule. Mais j'avais trop peur bien trop peur.Il connait les mots pour prévenir mes maux. Il a les yeux, le regard, le cœur, les silences, il a le tout pour comprendre et pour que je reste moi-même muette devant son personnage. C'est mon Monde. Il le sait. Il m'inspire. Il inspire mon existence. Il connait d'ailleurs tout de mon existence. Je lui fais confiance au point de pouvoir lui laisser entre ses mains ma propre existence.Il est plus important pour moi que je ne le suis moi-même. Je n'oublierais jamais cet homme et s'il n'était pas née je l'aurais crée. Lui et ses blagues pas drôle lui et sa flemme absolue, lui et son côté sportif, lui qui veux d'ailleurs me forcer à le devenir, lui et sa façon de contrôler ma santé lui et lui point.
Je ne peux plus dire grand chose si ce n'est que je l'aime vraiment, si ce n'est que cet article et seulement là pour que je puisse me vider l'esprit et lui dire tout ce que je lui ai déjà dit. Mais encore une fois je lui dois plus qu'une vie. Il m'a sauvé et plus d'une fois que ce soit materielle ( écrasement de voiture ) ou immatérielle. Je préfère le dire car il ne pourra rien supprimer et cette fois cela restera là. Même si pour lui les écrit ne servent à rien. Ils sont à mes yeux aussi important que son silence. Son silence qui veux parfois tout dire. Merci à toi. Merci à toi pour celle que tu m'as fais devenir et je te jure qu'un jours ces longues longues discussions réussirons.http://je.ne.veux.pas.travailler.cowblog.fr/images/400981572366235713143225712015332743549015n.jpg Et porterons ses fruits un jours je te promet je dirais vous voyez le type là bas et bien oui tout ça c'est grâce à lui vous le voyez regardait bien parce qu'il m'a sauvé la vie.


Je T'AIME Q. :) ( et je sais tu me permet pas :) )


Mercredi 5 janvier 2011 à 20:30

Et puis des fois on se dit mais merde c'est comme ça qu'ils fonctionnent tous? Un verre de sifflé trois meuf pour coucher ? Et puis un jour c'est comme ça. Ca te tombe dessus sans que tu ne sache trop pourquoi. Quel plaisir il y a? Forniquer pour forniquer ? C'est ça notre réalité aujourd'hui ? Combien de temps vas t'on se pourrir intérieurement ? Une capote mal retiré . une discussion non terminé . une fin déchiré. C'est ça aujourd'hui la beauté de deux personnes qui s'aiment ?
http://je.ne.veux.pas.travailler.cowblog.fr/images/2093585127small1.jpg
.(..) Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n’est qu’un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c’est l’union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. (...)

Alfred de Musset - On ne badine pas avec l’amour - Acte II, Scene 4

Si on cherche bien l'amour c'est plus ça. Un sentiment instable entre deux être fiére. Mais l'amour ce n'est sûrement pas être réduit à son statut d'animalité. Tout compte l'être humain n'est finalement qu'un animal dans son manque de bon sens et de tact pour lui les filles sont des putes et le resteront . La fierté masculine n'est pas sérieuse à 17 ans .

Mercredi 5 janvier 2011 à 17:35

8 octobre 1993 une chambre dans la banlieue de Paris pas de cris. Des yeux grands ouvert s'illuminèrent un jour de pluie. J'étais si bien mais la lumière omniprésente de cette piéce aveuglait mon visage. Les voix que j'entendais en sourdine d'habitude à présent pesait sur moi. D'une voix fluette elle a prononcé mon nom: Elena. Elle m'a prise dans ses bras et m'a bercé. J'étais sa deuxième des cheveux noir orné ma tête et des yeux foncé. Le visage d'un enfant en bas âge. Le visage d'une deuxième demoiselle qui trotterait dans les rues de Paris pour partir vers le sud. Une petite ville perdu prés de la campagne avec pour grande beauté des monument classés historique et des rencontres national de la photo. Une grande soeur pour modèle. Et une  séparation brutale à l'âge de dix ans. Une vie pratiquement banale de nos jours. Alors oui nous ne serons rien sans naître.http://je.ne.veux.pas.travailler.cowblog.fr/images/PC176937.jpg

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